วันจันทร์ที่ 25 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551



L’ours noir (Ursus americanus) ou Baribal est l’ours le plus commun en Amérique du Nord. Il se rencontre dans une aire géographique qui s’étend du nord du Canada et de l’Alaska au nord du Mexique. Il est présent des côtes atlantiques aux côtes pacifiques de l’Amérique du Nord. Il se rencontre dans un grand nombre d’États américains et dans toutes les provinces canadiennes. Il préfère les forêts et les montagnes où il trouve sa nourriture et peut se cacher. La population d’ours noirs était sans doute de deux millions d’individus autrefois. Aujourd’hui, l’espèce est protégée et on estime qu’il existe entre 500 000 et 750 000 ours noirs sur ce continent. Plus petit que l’ours brun et l’ours polaire, cet animal présente une couleur de fourrure plus ou moins foncée selon les régions. 16 sous-espèces, dont certaines menacées, sont reconnues. L’ours noir n’hiberne pas au sens strict, mais passe l’hiver dans un état de somnolence en vivant sur ses réserves de graisses accumulées pendant l’automne. Il est omnivore, même si son régime alimentaire est dominé par les végétaux. Contrairement aux idées reçues, l’ours noir est un bon nageur et il grimpe facilement aux arbres pour échapper à un danger. Longtemps chassé pour sa fourrure, il subit aujourd’hui la réduction de son milieu naturel.

วันศุกร์ที่ 22 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551


La tortue imbriquée ou tortue à écaille (Eretmochelys imbricata) est l’une des sept espèces actuelles de tortues marines et la seule du genre Eretmochelys. Elle se distingue par plusieurs caractères anatomiques et écologiques uniques, et c’est notamment le seul reptile spongivore connu.
Aussi appelée caret ou carette localement, notamment aux Antilles ou à La Réunion, ce qui prête à confusion avec la tortue caouanne (Caretta caretta), elle vit dans l’ensemble des mers tropicales, à proximité des côtes. Réputée et longtemps recherchée pour la qualité supérieure de son écaille, c’est à cause de cela l’une des espèces de tortues de mer les plus menacées d’extinction.

วันอังคารที่ 12 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551



siècle, s’est développé un nouveau style de peinture, la peinture baroque. Parmi les plus grands peintres baroque il faut citer Le Caravage, Rembrandt, Rubens, Vélasquez, Poussin, et Vermeer. Caravage est un héritier de la peinture humaniste de la Haute Renaissance. Son approche réaliste des personnages humains a choquée ses contemporains et ouverte un nouveau chapitre de l’histoire de la peinture. La peinture baroque dramatise souvent les scènes en utilisant des effets de lumière comme l’illustre les peintures de Rembrandt, de Vermeer, des frères Le Nain ou de Georges de La Tour.

Au XVIIIe siècle, le style rococo est apparu comme un dérivé de la peinture baroque, plus décadent, plus léger, souvent frivole et érotique. Les maîtres français Watteau, Boucher et Fragonard sont représentatifs de ce style, tout comme Giovanni Battista Tiepolo et Thomas Gainsborough. Jean Siméon Chardin est quant à lui considéré comme le meilleur peintre français du XVIIIe siècle.

วันศุกร์ที่ 8 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551

Néoclassicisme, romanticisme, impressionnisme




Après la décadence du style rococo a surgi le néoclassicisme vers la fin du XVIIIe siècle avec des artistes comme Jacques-Louis David et son héritier Dominique Ingres. Les œuvres d’Ingres contiennent déjà la sensualité, mais pas la spontanéité qui allait caractériser le romantisme. Ce mouvement s’est attaché à la représentation des paysages, de la nature, les figures humaines et de manière générale la suprématie de l’ordre normal sur la volonté humaine. Cette conception de la peinture s’inscrit dans la philosophie panthéiste (voir Spinoza et Hegel) qui s’oppose aux idéaux du siècle des Lumières par une vision plus tragique ou plus pessimiste du destin de l’humanité. L’idée que les êtres humains ne sont pas au-dessus des forces de la nature est en contradiction avec les idéaux de la Grèce antique et de la Renaissance où l’humanité était au-dessus de toutes choses et était maître de son destin. Ce sont ces idéaux qui ont amené les artistes romantiques à peindre le sublime, des églises en ruine, des naufrages, des massacres et la folie.

Cuirassier blessé quittant le feu de Théodore Géricault (1814)
Les peintres romantiques ont fait de la peinture de paysage un genre important alors qu’il était considéré jusque-là comme genre mineur ou comme un fond décoratif. Parmi les principaux peintres de cette période ont retrouve Eugène Delacroix, Théodore Géricault, Joseph Mallord William Turner, Caspar David Friedrich et John Constable. Les derniers tableaux de Francisco de Goya démontrent l’intérêt du romantisme pour l’irrationnel, alors que le travail d’Arnold Böcklin évoque le mystère. Aux États-Unis, la peinture romantique de paysage s’est fait connaître au travers de l’Hudson River School avec des peintres tels que Thomas Cole, Frederic Edwin Church, Albert Bierstadt ou Sanford Robinson Gifford.

Le principal peintre de l’école de Barbizon, Camille Corot a réalisé des peintures parfois romantique et parfois imprégnée d’un réalisme qui annonçait l’impressionnisme. L’un des peintres majeur marquant le tournant vers le réalisme au milieu du XIXe siècle est Gustave Courbet. Dans le dernier tiers de siècle, les peintres impressionnistes comme Édouard Manet, Claude Monet, Pierre-Auguste Renoir, Camille Pissarro, Alfred Sisley, Edgar Degas et les post-impressionnistes tels que Vincent Van Gogh, Paul Gauguin, Georges Seurat ou Paul Cezanne, ont amené la peinture aux portes du modernisme.

วันพุธที่ 6 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551


Des écureuils de terre du Cap (Xerus inauris dans la famille des Sciurinae), dans le parc national de Namib-Naukluft, près de Solitaire en Namibie.

วันจันทร์ที่ 4 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551

Graffiti




Un graffiti est une inscription calligraphiée ou un dessin tracé, peint ou gravé sur un support qui n'est normalement pas prévu à cet effet. Longtemps regardé comme un sujet négligeable, le graffiti est aujourd'hui considéré, selon les points de vue, comme un moyen d'expression, comme un art visuel, ou comme une nuisance urbaine.

Paris



En 1960, Brassaï publie le livre Graffiti, fruit de trente ans de recherches, régulièrement réédité, qui propose le graffiti comme une forme d'Art brut, primitif, éphémère. Picasso y participe. C'est sans doute la première fois que l'on évoque le graffiti comme un art.
Dans la foulée de mai 1968, les messages politiques de la rue parisienne gagnent en poésie et en qualité graphique. Ils sont notamment le fait d'étudiants en philosophie, en littérature, en sciences politiques ou en art et font souvent preuve d'humour absurde ou d'un sens de la formule plutôt étudié : « Cache-toi, objet ! », « Une révolution qui demande que l'on se sacrifie pour elle est une révolution à la papa. », « Le bonheur est une idée neuve. », « La poésie est dans la rue », « La vie est ailleurs », « Désobéir d'abord : alors écris sur les murs (Loi du 10 mai 1968.) », « J'aime pas écrire sur les murs. », etc.[14]. Ces slogans sont indifféremment écrits au pinceau, au rouleau, à la bombe de peinture (plus rare) ou sur des affiches sérigraphiées. C'est de cet affichage sauvage et militant que naît une tradition parisienne du graffiti à vocation esthétique. À la fin des années 1970, l'artiste Ernest Pignon-Ernest produira des affiches sérigraphiées, sans slogans, qu'il exposera dans plusieurs grandes villes : « les expulsés », collés sur les murs de maisons en démolition et représentant à taille réelle des personnes tenant des valises ou un matelas, « Rimbaud », représentant le poète, jeune, toujours à taille réelle. Les sérigraphies urbaines d'Ernest Pignon-Ernest interpellent le passant et lui demandent quelle est la place de l'homme ou de la poésie dans la cité moderne.Quelques années plus tard, les premiers « pochoiristes » comme Blek le rat continueront sur le même principe, cependant leurs œuvres ne sont plus des affiches collées mais des peintures exécutées selon la technique du pochoir. Dès 1982, pour annoncer leur « premier supermarché de l'art », Roma Napoli et JJ Dow Jones du Groupe Dix10 placardent dans le quartier Beaubourg de grandes affiches aux personnages de Comic's; vingt ans plus tard, toujours actifs, on les retrouve dans le mouvement Une nuit. Outre les pochoiristes, de nombreux artistes s'intéressent à l'art urbain et clandestin, comme Gerard Zlotykamien, qui peint des silhouettes évoquant les ombres macabres restées sur les murs d'Hiroshima; Jérôme Mesnager, auteur d'hommes peints en blanc qui courent sur les quais de la Seine, etc. C'est aussi l'époque de la Figuration Libre, une époque de créativité joyeuse et humoristique, née du Pop-Art, de Bazooka, du vidéo clip, du graffiti, souvent présente dans la rue, avec Robert Combas, Les Frères Ripoulin (qui peignaient sur des affiches posées clandestinement), Daniel Baugeste et Claude Costa (qui se faisaient enfermer la nuit dans le métro pour pouvoir en détourner les affiches), Hervé Di Rosa, Speedy Graffito, Paëlla Chimicos, VLP (Vive La Peinture), etc.Outre la rue, les catacombes de Paris seront aussi à l'époque un lieu important du graffiti.
Le graffiti « new-yorkais » apparaît en France dès 1982-1983, avec des artistes comme Bando, Blitz, Lokiss, Scipion, Skki ou encore Saho. Les premiers articles de presse consacrés à ce phénomène ne datent pourtant que de 1986[15]. Vers 1986-87, le graffiti « new-yorkais » et sa culture hip-hop prennent définitivement le pas à Paris sur les formes plus proches du monde de l'art contemporain, lequel retourne, sauf exception, à ses galeries.À Paris, le graffiti new-yorkais se trouve des lieux privilégiés comme les quais de la Seine, les palissades du Louvre ou du centre Georges-Pompidou, le terrain vague de Stalingrad/La Chapelle, puis s'étend progressivement aux cités des banlieues où la culture hip-hop trouve son second souffle en devenant plus populaire et moins bourgeoise. Paris attire de nombreux graffiteurs européens (Shoe, Mode 2) mais aussi américains (Jonone, Futura 2000, T-Kid, A-One).

วันเสาร์ที่ 2 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551


Engluée dans les troubles post révolutionnaires, entraînée par l’Empire dans des guerres de conquêtes, la société du début du XIXe siècle fait peu de cas des jardins. Napoléon confie à l’armée le vaste parc de Vincennes. Celle-ci le défriche, y construit champs de tir et casernements.Il faut attendre la fin du règne napoléonien pour que le jardin public prenne peu à peu sa place dans le nouvel écheveau des relations sociales.L’époque de l’industrialisation fait émerger une bourgeoisie fortunée, avide de divertissements et de sorties. Pour exhiber sa réussite, la ville du Second Empire va lui offrir deux nouveaux lieux de sociabilité : les boulevards et les jardins publics.Le préfet Rambuteau, à la veille de la grande mutation de Paris au Second Empire, crée, avec le jardin de l'archevêché, le premier jardin "public". Il y intègre des bancs qui ajoutent au lieu de promenade des étapes de repos. Cette innovation légalise l'appropriation par les Parisiens de leurs espaces verts


Le lycée Henri-IV est un établissement français d'enseignement secondaire et supérieur, situé 23 rue Clovis à Paris, dans le Ve arrondissement, non loin de l'église Saint-Étienne-du-Mont et du Panthéon.
Il est classé monument historique pour certains de ses bâtiments, hérités de l'ancienne Abbaye Sainte-Geneviève, qui datent du XIIe au XVIIIe siècle : tour Clovis (ancien clocher de l'abbaye, cf. ci-contre), réfectoire (actuelle chapelle), cabinet des Médailles (cabinet de curiosité), etc. Des travaux récents (vers 1996) de rénovation ont permis de mettre au jour des vestiges d'époque carolingienne. Un couple de faucons crécerelles niche depuis quelques années dans la tour Clovis

วันศุกร์ที่ 1 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551

Ballet


Le ballet est un genre dramatique dont l'action est figurée par des pantomimes et des danses.
Selon les époques, les pays et les courants, le spectacle chorégraphique peut intégrer de la musique, du chant, du texte, des décors, voire des machineries.
Comme l'opéra, il peut être organisé de deux manières :
soit en une succession de « numéros » ou « entrées »,
soit « en continu ».
La structure du ballet « à entrées » est la plus ancienne : des danses s'enchaînent les unes aux autres comme autant d'épisodes distincts.