วันจันทร์ที่ 24 กันยายน พ.ศ. 2550


En droit français, une personne physique est un être humain, considérée juridiquement comme telle, sujet de droit, c'est-à-dire à laquelle on confère la titularité de droits et d'obligations.
Le concept de personne physique est purement juridique. Il s'agit d'une abstraction, voire, d'une fiction juridique. De nombreux auteurs rappelent qu'il faut distinguer la notion de personne de celle de personne physique, au sens juridique, car les deux, s'ils se rejoignent fréquemment, ne se retrouvent pas toujours confondus. Ce concept a aussi évolué avec l'histoire de l'humanité, prenant en compte l'existence de l'esclavage. Cette notion est à comparer à celle de personne morale, dans laquelle une personnalité juridique fictive est attribuée à un groupement.
Les règles de droit relatives à l'existence d'une personne juridique sont précisément définies, en prenant en compte des considérations éthiques : à partir de quand nait-on, et devient-on une personne distincte de sa mère ? Quel est le sort des disparus et des absents, dont un doûte existe toujours sur le décès ? Qu'est-ce que la mort au sens juridique du terme ? Ce sont notamment quelques questions auxquelles cet article tente de répondre.
Les règles relatives à l'exercice des droits et obligations que confèrent la personnalité juridique sont définies par la capacité juridique de la personne.

วันจันทร์ที่ 17 กันยายน พ.ศ. 2550

Le temps des pionniers


La première représentation publique de cinéma en Belgique a lieu le 1er mars 1896 à la Galerie du Roi, à Bruxelles[5], soit deux mois à peine après la séance historique des Frères Lumière à Paris le 25 décembre 1895, et avec un programme très semblable. De fait, une projection de La Sortie des usines Lumière avait déjà eu lieu en avant-première, dans un cercle restreint mais en présence de nombreuses personnalités, le 10 novembre 1895 à l’École Supérieure de l’Industrie de Bruxelles.
Les débuts de la production belge proprement dite sont dominés par deux personnalités, Hippolyte De Kempeneer et Alfred Machin, un Français originaire du Pas-de-Calais.
En 1897, De Kempeneer, un ancien négociant en boissons, tourne son premier reportage, Le roi Léopold II à l’Exposition de Tervueren (Koning Leopold II op de Tentoonstelling in Tervuren). Conscient de l’intérêt que les spectateurs belges commencent à porter à ces images plus proches de leur réalité, il lance un programme d’actualités cinématographiques, "La Semaine animée", qui sera diffusé chaque vendredi de 1912 à 1914. Les enjeux moraux et pédagogiques du cinéma — notamment des films documentaires — lui tiennent particulièrement à cœur. En 1913 il fonde la Ligue du Cinéma Moral et en 1914, il ouvre le Cinéma des Familles, une petite salle dédiée aux documentaires, dans laquelle il organise des matinées scolaires. Poursuivant la mission dont il se sent investi, il crée pendant la guerre la Compagnie Belge des Films Instructifs.
Ses productions sont abondantes et variées. Parmi les sujets traités, on remarque une fête des fleurs, un concours hippique, une foire aux bestiaux, des visites officielles ou des funérailles de personnalités, ou encore des scènes de colonies de vacances. Une série de films patriotiques est également produite[6], par exemple La Belgique martyre (Het Gemartelde België) de Charles Tutelier en 1919. Nombre de ces pellicules ont malheureusement été perdues.
En 1921, cet homme d’affaires avisé construit également de vastes studios à Machelen, où des réalisateurs belges et étrangers viendront travailler, par exemple les Français Julien Duvivier et Jacques de Baroncelli.

Le cinéaste Alfred Machin
De son côté, le Français Alfred Machin, recruté par la puissante firme Charles Pathé, tourne d’abord des films animaliers en Afrique puis séjourne aux Pays-Bas pour y développer une industrie cinématographique locale, avant d’être envoyé en Belgique en 1912 comme directeur artistique de l’une des filiales de Pathé, Belge Cinéma Film.
Des films de fiction commencent à être produits et L'Histoire de Minna Claessens (De legende van Minna Claessens) (1912) est considéré comme le premier long métrage du cinéma belge[7]. La pellicule de ce mélodrame a été perdue, il n’en subsiste que le scénario, conservé à la Bibliothèque nationale de France.
Toujours en 1912, la firme Pathé investit le domaine du Karreveld dans la banlieue bruxelloise de Molenbeek-Saint-Jean et Machin supervise alors son réaménagement. C’est là qu’il tournera les scènes d’intérieur de ses films belges.
Maudite soit la guerre (Vervloekt zij den oorlog), œuvre résolument pacifiste et prémonitoire sortie en juin 1914, constitue le sommet d’une carrière riche d’environ 150 titres. Certains de ces films sont conservés à la Cinémathèque royale de Belgique, à Bruxelles.
Pendant le premier conflit mondial, le cinéma belge est un cinéma d'occupation allemande, souvent en langue allemande.

วันพุธที่ 12 กันยายน พ.ศ. 2550

Animal


Un animal (du latin animus, souffle, ou principe vital) est un être vivant sensible capable de mouvement et de perception. Ceci n'est cependant pas suffisant, car cette définition inclurait certaines espèces monocellulaires comme les protozoaires qui leur sont très différentes pour diverses raisons. Les animaux sont des espèces pluricellulaires. On utilise parfois ce terme pour opposer les animaux aux humains (bien que ces derniers fassent partie du règne animal) ou aux plantes. D'autre part, le sens commun ne retient pas comme réellement « animal » les organismes du type éponge (Porifères), corail, ou anémones de mer, dont le mode de vie se rapproche de celui des plantes.
Toutes les espèces d'animaux partagent un certain nombre de particularités et de besoins comme le besoin en oxygène, le besoin en eaux. Ces besoins impliquent la présence de système ou d'appareil fonctionnel capable d'effectuer certaines tâches. Le besoin en eaux implique d'avoir un système de régulation osmotique mais aussi la reproduction pour développer l'espèce, sans quoi, inévitablement cette espèce disparaîtrait après un certain temps. Pour assimiler les substances nécessaires à sa vie qu'il puise d'autres organismes vivants, l'animal a besoin d'un système de digestion et donc d'un système d'excrétion. Les animaux possèdent également des systèmes très divers de locomotion, de perception. En outre, ils possèdent divers systèmes de circulation de fluide à l'intérieur du corps et de coordination des différentes cellules. La mort ne semble pas en faire partie des caractéristiques fondamentales, car certaines espèces d'éponges semblent immortelles. L'organisation interne des animaux peut être de complexité très variable, depuis la colonie de cellules relativement amorphes que forment les éponges, jusqu'aux organisations très complexes des insectes ou des vertébrés.

วันพุธที่ 5 กันยายน พ.ศ. 2550

Mode de vie




Un hippopotame immergé
Les hippopotames sont extrêmement territoriaux ; un hippopotame mâle marque souvent son territoire le long d'une berge de rivière où il garde son harem de femelles, qu'il défend contre les autres mâles. Les hippopotames mâles se défient avec des bâillements menaçants. Leurs canines mesurent 50 centimètres de long et ils utilisent leur tête comme un bélier, surtout contre les mâles rivaux quand ils luttent pour leur territoire. L'hippopotame n'attaque pas les humains, mais, extrêmement territorial, il défend contre eux son domaine avec énergie et, comme son habitat est souvent envahi par les fermiers et par les touristes, il compte parmi les animaux les plus dangereux d'Afrique. On dit qu'il cause plus de morts chez les humains qu'aucun autre mammifère.
Les hippopotames vivent presque toujours en eau peu profonde, rarement en eau profonde. La plupart des hippopotames qui ont l'air de flotter sont en fait debout ou couchés sur le fond. Ils se nourrissent à terre surtout pendant la nuit, consommant jusqu'à 50 kg de végétation par jour. On a observé qu'ils consomment de temps en temps de la viande trouvée dans des ordures près de leur habitat, mais ce ne sont pas réellement des carnivores.
Les hippopotames adultes ne flottent généralement pas. En eau profonde, ils se propulsent d'habitude par des sauts, en poussant sur le fond. On a remarqué qu'ils se déplacent à 8 km/h dans l'eau. Les jeunes hippopotames nagent plus volontiers, en se propulsant grâce à des coups de pied de leurs jambes arrières. Un tout jeune hippopotame a survécu après avoir été projeté dans la mer pendant le tsunami produit par le séisme de l'Océan Indien en 2004 et a été recueilli sur une île voisine.
Les bébés hippopotames naissent sous l'eau et pèsent entre 27 et 50 kg ; ils doivent monter à la surface pour leur première respiration. Les jeunes restent souvent sur le dos de leurs mères quand l'eau est trop profonde pour eux et s'immergent pour téter.
Les hippopotames adultes font habituellement surface pour respirer toutes les 3-5 minutes. Les jeunes doivent respirer toutes les 2-3 minutes. Le processus de remontée en surface et de respiration est automatique et même un hippopotame qui dort remontera et respirera sans se réveiller. On a observé des hippopotames qui restaient en submersion jusqu'à 30 minutes. Dans cette situation il ferme ses narines.

วันจันทร์ที่ 3 กันยายน พ.ศ. 2550

Mirza Husayn Ali Nuri



Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis
Mirza Husayn)
Aller à :
Navigation, Rechercher

Une des deux images connues de Baha'u'llah
Né à
Téhéran, en Iran, en 1817 et décédé en 1892, Mirza Husayn Ali Nuri, surnommé بهاء الله Bahá'u'lláh (se prononce : baha-o-llah et signifie «gloire de Dieu») est à l'origine de la religion baha'ie (appelée aussi Foi baha'ie) (bahaïsme) qui se présente comme la dernière en date d'une longue lignée de révélations a travers des enseignants marquants: Krishna, Abraham, Moïse, Bouddha, Jésus, Muhammad, Confucius, Lao-Tseu, Guru Nainak.
Disciple du
Báb, sa doctrine a été influencée par le babisme.
Il appartenait à une grande famille fortunée de l'
aristocratie persane, propriétaire de vastes domaines, dont les origines remontent aux dynasties régnantes de l'ancienne Perse impériale[réf. nécessaire].
Sa situation de privilégié ne résistera pas au coup d'éclat qu'il provoque en annonçant son soutien au message du
Báb. Emporté par la vague de violence déclenchée contre les Bábís au lendemain de l'exécution du Báb, Bahá'u'lláh voit non seulement tous ses biens confisqués mais subit en outre la prison, la torture et toute une série d'exils. Le premier exil le mène à Bagdad où, en 1863, il déclare être celui dont le Báb avait promis l'avènement. De Bagdad, il est envoyé à İstanbul, puis à Edirne, pour arriver enfin prisonnier, en 1868, à Acre, dans la wilaya de Damas (aujourd'hui en Israël).
D'Edirne, et plus tard d'Acre, il proclame l'unification prochaine de l'humanité et l'émergence d'une civilisation mondiale. Il y exhorte en outre les rois, les empereurs et les présidents du XIXe siècle à réconcilier leurs différends, à réduire leurs armements, et à consacrer leurs énergies à instaurer la
paix universelle.
Bahá'u'lláh décèdera à Bahji en 1892, juste au nord d'Acre, où repose aujourd'hui sa dépouille, tandis que ses enseignements commenceront à se propager hors des confins du Moyen-Orient. Désormais, son tombeau est le point de convergence de la communauté mondiale bahá'íe engendrée par son message.
Son fils Abbas Abd al-Baha' reprend sa pensée jusqu'à sa mort à Haïfa (
1921).

Lumière sur ...



L'hindouisme est la plus vieille des principales religions du monde, son origine remontant à la civilisation de l'Indus qui naquit vers 2500 av J-C. Avec plus de 900 millions de fidèles, l'hindouisme est actuellement la troisième religion la plus répandue, après le christianisme comptant environ 2.2 milliards de fidèles, et l’islam avec 1.35 milliards. A l'inverse des autres religions principales, l'hindouisme n'a pas été fondé par un prophète et ne dépend pas d'un dogme central, sa pratique étant issue d'une tradition très ancienne. C'est donc une religion dynamique, un ensemble de concepts philosophiques issues d'une tradition remontant à la protohistoire indienne, dotée d'une capacité à assimiler les croyances, et les philosophies, sans les opposer. L'hindouisme peut être convenablement défini comme étant un mode de vie socio-religieux des hindous, sans Eglise ni dogmes.